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«C’est bien, moi aussi je m’aime»
Antoine, tu sais quoi? – Non Angélique, dis-moi... – Eh bien je t’... © DR
angélique eggenschwiler
Publié le 12.12.2016
Temps de lecture estimé : 3 minutes
Le mot de la fin
Vous vous souvenez de votre premier «je t’aime»? Celui qu’on glisse au coin de l’oreille ou du bar, fébrile, fougueux, parfois anxieux? Et souvent précipité. Le «je t’aime moi non plus» transformé en «je n’aurais peut-être pas dû». Celui qu’on a regretté en s’entendant dire «merci», «t’es sûre?» ou «t’es bourrée?».
Il est périlleux ce premier «je t’aime». On se met à nu quand on dit je t’aime à quelqu’un. Et la première fois, mieux vaut avoir assorti sa culotte… à son caleçon, parce qu’on a quand même vite l’air con.
«Je t’aime» c’est s’engager, c’est promettre et parfois s’afficher. «Et sinon, t’as une feui