Depuis lundi, des «ambassadeurs de propreté» parcourent les rues de la capitale cantonale. L’initiative est portée par l’association REPER, qui a créé cette fonction en collaboration avec la ville dans le but de favoriser l’insertion professionnelle et sociale des jeunes en difficulté.
Jusqu’au 1er juillet, trois personnes fonctionneront en tournus les jours de semaine de 11 h à 14 h. «Ces jeunes ne remplacent évidemment pas les employés de la voirie. Ils ont certes pour mission de ramasser les déchets sur la voie publique, mais leur rôle principal est de sensibiliser la population au littering et au recyclage des détritus», souligne Vanessa Moullet, travailleuse sociale de rue à REPER.

=> Article à lire dans l'édition (papier et numérique) de La Liberté du jeudi 9 juin