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Oui, Roman Cervenka sait sourire

Roman Cervenka est un épais mystère. Virevoltant sur la glace, le Tchèque est pour le moins introverti sans ses outils de travail. «La Liberté» a sollicité Pavel Rosa, compatriote et ami du No 11 des Dragons, pour tenter de briser la glace.

«On en attendait plus de moi», concède le No 11 de Saint-Léonard. © Charly Rappo
«On en attendait plus de moi», concède le No 11 de Saint-Léonard. © Charly Rappo

PSC

Publié le 13.02.2017

Essayez d’arrêter Roman Cervenka sur le chemin des vestiaires pour lui demander une interview et vous lirez dans ces yeux un étonnement teinté d’exaspération. Est-ce le caprice d’un athlète surdoué, la timidité d’un homme solitaire, ou l’impression que laisse son anglais mal maîtrisé? Un peu des trois, sans doute.

>> Lire: «Cervenka, un ovni à Saint-Léonard»

«La Liberté» a sollicité Pavel Rosa, compatriote et ami de Roman Cervenka, pour aider le joueur le plus efficace du championnat (1,08 point par match) à se livrer. Avec, même, un sourire à la clé!

Comment vivez-vous cette saison?

Roman Cervenka: Difficilement, forcément. Il s’agit de la saison la plus compliquée de ma carrière. Partout où je suis passé, j’ai toujours participé aux play-off. Maintenant, l’équipe est où elle est, et il faut s’y faire.

 Vous avez gagné le championnat tchèque, la KHL, les championnats du monde. Peut-on vraiment s’y faire, à cette dernière place?

Je n’ai pas le choix… Mais ne pas participer aux play-off, c’est vraiment, vraiment frustrant.

Existe-il des chances de vous revoir à Saint-Léonard la saison prochaine?

>> Interview complète à découvrir dans «La Liberté» de mardi

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