Auditionné sur ces événements survenus en 2013, le papa mis en cause a admis avoir tiré les cheveux de son fils et l’avoir giflé à trois reprises depuis sa venue au monde.

A l’heure où le débat sur la fessée fait rage en Europe, cette sanction vient rappeler qu’il existe, en Suisse, une jurisprudence fédérale en matière de droit de correction. Si elle n’interdit pas strictement les punitions physiques, elle qualifie néanmoins d’illicites «les traitements dégradants et les moyens de correction qui portent atteinte à l’intégrité physique, psychique ou spirituelle de l’enfant ou qui la mettent en danger».

==> Détails dans l'édition de vendredi de «La Liberté»