Angélique Eggenschwiler, chroniqueuse et maintenant écrivaine
Chroniqueuse pour «La Liberté», la Broyarde Angélique Eggenschwiler, 23 ans, publie «Parfum de térébenthine», un premier livre publié aux Editions de l'Hèbe. Elle y aligne les portraits doux-amers d’anonymes fantasmés.
NM
La Fribourgeoise, qui vit à Marly, enchaîne une vingtaine de petites histoires sur quelques pages ou quelques lignes. «Une mosaïque comme dans un film de Jean-Pierre Jeunet», compare-t-elle. Comme l'histoire de Monsieur Descloud qui «découpe les avis mortuaires avec la dextérité d’un coloriage d’enfant». Ou Laura, petite môme qui «porte la laideur ingrate des couples improbables», une «farce génétique qu’elle maudira de sa première boum à sa dernière danse» «Il y a là un peu d’auto-fiction. Certains personnagges sont réels. D’autres sont inspirés de personnages de la littérature que j’essaie d’invoquer», relève l'auteure, citant volontiers Prévert, Zola et Bukowski.
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