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Jacqueline Veyrac retrouvée vivante mais légèrement blessée

Dans l'attente d'une issue aux relations mouvementées entre Berne et Bruxelles (archives) © KEYSTONE/LUKAS LEHMANN
Dans l'attente d'une issue aux relations mouvementées entre Berne et Bruxelles (archives) © KEYSTONE/LUKAS LEHMANN
Heureux dénouement à Nice pour la femme d'affaires Jacqueline Veyrac (photo prétexte) © KEYSTONE/EPA/STR
Heureux dénouement à Nice pour la femme d'affaires Jacqueline Veyrac (photo prétexte) © KEYSTONE/EPA/STR


Publié le 26.10.2016


La femme d'affaires Jacqueline Veyrac, enlevée lundi à Nice, a été retrouvée vivante mercredi matin au nord-ouest de la commune. La septuagénaire est légèrement blessée. Plusieurs personnes ont été placées en garde à vue, a indiqué le procureur de Nice.

"Elle a été vue par des passants, ligotée dans une voiture, qui ont appelé la police. Elle n'est pas gravement blessé", a déclaré Jean-Michel Prêtre, procureur de Nice.

Agée de 76 ans, la présidente du conseil d'administration du Grand Hôtel, situé sur la Croisette à Cannes, avait été enlevée lundi, devant son garage, dans une rue passante du centre de Nice. Deux hommes ont masqué son visage et l'ont forcée à s'installer dans un véhicule utilitaire conduit par une troisième personne.

Plusieurs personnes ont été interpellées et placées en garde à vue, a indiqué Jean-Michel Prêtre, sans en préciser le nombre. "Il y a des personnes qui sont ciblées par l'enquête", a-t-il ajouté lors d'une conférence de presse.

L'enquête cherche à déterminer qui sont les auteurs du rapt et s'il y avait un ou plusieurs commanditaires. "Il n'est pas évident que les exécutants soient les mêmes que les commanditaires", a souligné le procureur de Nice.

Un bref contact téléphonique avec un potentiel ravisseur avait été établi lundi après-midi peu après les faits selon Me Sophie Jonquet, avocate de deux des trois enfants de la victime. Jacqueline Veyrac avait déjà été victime en 2013 d'une tentative d'enlèvement au même endroit, alors qu'elle sortait de son garage, mais une voisine avait donné l'alerte, mettant les agresseurs en fuite.

ats, afp

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