Didier Roustan, vrai fou du stade
Jean-Philippe Bernard
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Le mot de la fin
Certes, je souhaite qu’on y rejoue le plus rapidement possible, pourtant j’avoue que le football du XXIe siècle a plutôt tendance à me saouler. Il n’est pas question ici d’ivresse mais d’un de ces maux de crâne comparables à celui occasionné par une boisson frelatée. Comme celle que les «tontons flingueurs» ingurgitent dans la célèbre scène de la cuisine…
Rien de plus consternant que ces matches hachés menu par l’arbitrage vidéo, rien de plus soporifique que les discours de ces «spécialistes» pour lesquels le monde du ballon rond se résume à une poignée de clubs omnipotents. Et la magie dans tout ça? Bien avant l’arrivée du virus, j’étais sur le point d’en finir avec tout ça lorsqu’une voix m’a redonné la foi. La vo