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Quel avenir pour la BD?

Alors que le Festival de bande dessinée d’Angoulême bat son plein, Thierry Groensteen évoque un marché en crise. Remous dans les bulles

Le marché de la bande dessinée ne se porte pas au mieux, mais de belles plumes émergent, dont celle de Miroslav Sekulic-Struja. Lauréat du concours Jeunes Talents en 2010 à Angoulême, ce Croate est de retour au festival avec une exposition. © Actes Sud
Le marché de la bande dessinée ne se porte pas au mieux, mais de belles plumes émergent, dont celle de Miroslav Sekulic-Struja. Lauréat du concours Jeunes Talents en 2010 à Angoulême, ce Croate est de retour au festival avec une exposition. © Actes Sud

Thierry Raboud

Publié le 28.01.2017

Temps de lecture estimé : 7 minutes

Neuvième art »   Ce week-end, la bande dessinée se donne de grands airs. A Angoulême, où la 44e édition du célèbre festival international consacré à l’art de la bulle bat son plein, 2000 auteurs dédicacent leurs ouvrages au sein de «la plus grande librairie du monde». Certes temporaire, mais tout de même: 216 maisons d’édition francophones y ont amené quelque 400 tonnes d’albums, l’équivalent d’une vingtaine de semi-remorques...

«Le secteur est en crise», tempère pourtant Thierry Groensteen. Manquerait-il une case à ce Franco-Belge, historien et théoricien de la bande dessinée? Pas sûr: l’homme est un fin connaisseur du domaine, directeur de collection chez Actes Sud et rédacteur en chef de la revue en ligne NeuvièmeArt2.0. Il vient de sortir un court

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