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Des histoires à coucher dehors

Le 48e Festival du film alpin a dévoilé hier sa programmation, plus contemplative qu’à son habitude

Le documentaire Passion Alaska, présenté en première suisse, part sur les traces du baroudeur solitaire Nicolas Reymond. © Mathieu Wenger
Le documentaire Passion Alaska, présenté en première suisse, part sur les traces du baroudeur solitaire Nicolas Reymond. © Mathieu Wenger

Thierry Raboud

Publié le 21.07.2017

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Les Diablerets »   «Que la montagne est belle». D’aucuns le chantaient, d’autres continuent de le montrer. Aujourd’hui, n’en déplaise au pré-écolo moustachu Jean Ferrat, c’est bien à l’écran que s’exprime la fascination du grand air, que se transmet la prise de conscience de la fragilité de notre environnement, que s’exalte sa majestueuse beauté. Voilà bientôt un demi-siècle que Les Diablerets tissent leurs toiles au pied des glaciers. Du 5 au 12 août, alpinistes et cinéphiles feront cordée commune à l’enseigne de la 48e édition du Festival international du film alpin.

Un festival qui, ampleur du paysage oblige, vise haut et voit loin. Fréquenté l’an passé par plus de 20 000 spectateurs et doté d’un budget d’un demi-million de francs, il possède «une certaine stabilité financière qui lui permet d’avoir de l’ambition», note le président de la manifestation Olivier Français. De quoi entrevoir de belles réjouissances à l’horizon du cinquantième anniversaire, mais surtout de conti

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