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Guerre froide, espionne chaude

Guerre froide, espionne chaude
Guerre froide, espionne chaude
Publié le 16.08.2017

Temps de lecture estimé : 1 minute

Atomic Blonde »   Berlin, novembre 1989. Un homme court à en perdre haleine le long du Mur au son du tube electro-pop Blue Monday, du groupe New Order. Sa fuite est interrompue par une Mercedes qui l’écrase par deux fois, avant qu’un homme au fort accent russe n’en sorte pour l’exécuter froidement d’une balle dans la tête. Le décor est planté: lumière bleutée, musique kitsch, violence stylisée. Adapté du roman graphique The Coldest City (2012), Atomic Blonde use et abuse de tous les clichés du film d’espionnage, avec dans le rôle-titre la sauvage et sensuelle Charlize Theron, alias Lorraine Broughton, la meilleure espionne du service de renseignement de Sa Majesté. La blonde atomique britannique, seule dans Berlin à la veille de la chute du Mur, se livre à un jeu d’espion des plus meurtriers. Chassant sur les terres de Jason Bour

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