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Les dodos de la farce

Piliers de Groland sur Canal+ et duo inséparable de cinéastes, Gustave Kervern et Benoît Delépine pratiquent un humour féroce au service des sans-grades

Benoît Delépine et Gustave Kervern: deux sacrés zozos, ou plutôt des dodos, tel l’animal fétiche de leur prochain film.
Benoît Delépine et Gustave Kervern: deux sacrés zozos, ou plutôt des dodos, tel l’animal fétiche de leur prochain film.
Benoît Delépine et Gustave Kervern: deux sacrés zozos, ou plutôt des dodos, tel l’animal fétiche de leur prochain film.
Benoît Delépine et Gustave Kervern: deux sacrés zozos, ou plutôt des dodos, tel l’animal fétiche de leur prochain film.
Benoît Delépine et Gustave Kervern: deux sacrés zozos, ou plutôt des dodos, tel l’animal fétiche de leur prochain film.
Benoît Delépine et Gustave Kervern: deux sacrés zozos, ou plutôt des dodos, tel l’animal fétiche de leur prochain film.

photos Charly Rappo Texte Olivier Wyser

Publié le 29.08.2020

Temps de lecture estimé : 7 minutes

Paysage culturel (7/7) » Tout l’été, La Liberté a accompagné des passeurs d’art sur la ligne de leur horizon essentiel.

Pour le grand public, ils sont Michael Kael, grand reporter roublard peigné en arrière et sempiternellement drapé dans un imperméable couleur mastic, et Gustave Kervern, archétype du journaliste local alcoolique à la dégaine d’ours mal dégrossi. Deux personnages cultes du petit écran créés dans les années 1990 pour l’émission Groland, sur Canal+. Mais depuis 2004 et leur premier film Aaltra, Benoît Delépine et Gustave Kervern sont aussi devenus un couple de réalisateurs inséparables qui narrent comme personne les tourments de ceux qui ne sont rien, des sans-grades, ceux que l’on appelle pudiquement «les petites gens» ou la «France d’en bas». Le du

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