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Pas de paroles, mais beaucoup à dire

A l’invitation de la série Eclatsconcerts, le Kuss Quartet revient au Musée d’art et d’histoire de Fribourg

Jana Kuss, William ­Coleman, ­Mikayel Hakhnazaryan et Oliver Wille, alias le Kuss Quartet. ­ © Molina Visuals
Jana Kuss, William ­Coleman, ­Mikayel Hakhnazaryan et Oliver Wille, alias le Kuss Quartet. ­ © Molina Visuals

Benjamin Ilschner

Publié le 30.03.2017

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Fribourg » Pour sa deuxième invitation à Eclatsconcerts, le Kuss Quartet fait chanter ses instruments dans un programme varié comme il les aime. Sur la scène du Musée d’art et d’histoire de Fribourg, il réunira samedi des œuvres classiques et contemporaines de Haydn, Beethoven, Jörg Widmann, Thomas Adès et Enno Poppe. Explications avec le violoncelliste Mikayel Hakhnazaryan, qui avait fait ses études à Sion et Bâle avant de rejoindre le quatuor berlinois il y a dix ans.

Quelle idée se cache derrière cette affiche éclectique?

Mikayel Hakhnazaryan: Il s’agit de pièces de musique sans paroles, mais chargées de sens. Il y a d’abord ces fameux extraits des Sept dernières paroles du Christ en croix mises en musique par Haydn. Et aussi d’autres œuvres, comme le Quatuor No1 de J

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