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Le hip-hop, des banlieues à la scène

Mickaël Le Mer et sa compagnie S’Poart porteront la puissance de cette danse samedi soir à Fribourg

Ils seront sept danseurs, que des hommes, 
à rivaliser de ­virtuosité dans ­la pièce Rouge.
 © Le Poulpe
Ils seront sept danseurs, que des hommes, 
à rivaliser de ­virtuosité dans ­la pièce Rouge.
 © Le Poulpe

Elisabeth Haas

Publié le 30.03.2017

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Equilibre » Le hip-hop, c’est une histoire de performance et de virtuosité. C’est aussi une culture qui naît dans les marges de la société, avant d’exploser comme une discipline éminemment populaire de danse. Depuis une petite ville de Vendée, La Roche-sur-Yon, Mickaël Le Mer, 40 ans, a rêvé et monté une compagnie, la compagnie S’Poart, qui défend sa place parmi les meilleures en France. Mais il est loin de se cantonner à la breakdance. Le chorégraphe est passionné de danse contemporaine au sens large: il cite William Forsythe, Anne Teresa de Keersmaeker, Pina Bausch. Interview avant de monter sur le grand plateau d’Equilibre, à Fribourg, samedi soir, avec Rouge.

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