C’est l’heure des vacances! Vive le soleil, les cocktails avec vue sur la mer… Mais avant de savourer ces moments paradisiaques, il faut d’abord survivre à une étape cruciale: faire ses valises. Chaque année, c’est le stress et, chaque année, on se demande comment faire pour éviter d’être une boule de nerfs à quelques heures du départ et de transformer son logement en un vrai capharnaüm.

Astuce n° 1: dresser une liste. Cela épargnera des crises de larmes parce qu’on manque de tee-shirts ou qu’on a emporté l’appareil photo sans son chargeur. Le mieux est de s’y prendre quelques jours à l’avance (si, si, on essaie de ne pas s’y mettre à la dernière minute). On estime la durée des vacances, on jette un œil à la météo et hop, on prévoit des tenues appropriées.

Astuce n° 2: ordonner la valise. C’est classique, la mallette déborde de partout et on n’arrive pas à la fermer. Alors on rouvre la valise et on sort tout ce qu’on y avait jeté pêle-mêle. Cette fois, on prend le temps de rouler ses habits pour qu’ils prennent moins de place et éviter par la même occasion de les chiffonner. Ainsi, finies les chemises froissées alors qu’on les avait repassées la veille du départ. Important aussi: isoler les produits liquides du reste des affaires. Cela évitera de constater à l’arrivée à l’hôtel que ce nouveau shampoing hors de prix s’est généreusement déversé sur notre pantalon préféré. Dernier tip à la gent féminine: si la valise n’est pas pleine à craquer au moment du départ, des séances de shopping sont de toute manière au programme, non?

Astuce n° 3: contrôler le poids de la valise. Quoi de plus gênant que d’exhiber ses effets personnels à la vue des passants à l’aéroport parce que le bagage est trop lourd et qu’il faut réduire son poids? Pour ne pas avoir à subir ces instants embarrassants, on anticipe en pesant la valise avant de partir, l’allégeant si besoin. Avis aux férus de lecture: un ou deux bouquins coincés entre les tongs et la trousse de toilette devraient amplement suffire.

C’est bon, tout est plié, rangé, empaqueté. Maintenant, on est libre de profiter des effluves salées qui chatouillent les narines.