Il faudra en tirer les bonnes leçons
Gottéron • Mardi, les Dragons ont assuré leur place dans l’élite. Entre la déception d’avoir raté le bon wagon et le soulagement d’avoir abrégé le calvaire, Gerd Zenhäusern revient sur ses premiers mois à Saint-Léonard.
Vincent Chobaz
Temps de lecture estimé : 11 minutes
Hier matin, il était passé 5 heures lorsque Gerd Zenhäusern a finalement trouvé le sommeil. La pression, énorme, qui pèse depuis des mois sur les épaules des Dragons est lente à se dissiper. Pourtant, malgré cette courte nuit, son visage apaisé traduit tout le soulagement d’un homme qui vient de se débarrasser d’un poids considérable: Fribourg-Gottéron a assuré sa place dans l’élite en s’imposant mardi à Rapperswil. Attablé au restaurant de la patinoire Saint-Léonard, l’entraîneur haut-valaisan évoque ses cinq premiers mois mouvementés sur le banc des Dragons. «Je m’attendais à une saison compliquée, mais pas à quelque chose d’aussi lourd.»
- Gerd Zenhäusern, peu après votre arrivée à Saint-Léonard, vous affirmiez que manquer