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Nelson Chiquet n’en espérait pas tant

Les juniors profitent souvent des mauvais résultats de l’équipe première pour avoir du temps de jeu

Patricia Morand

Publié le 24.01.2017

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Gottéron »  Julien Sprunger, Adrien Lauper, Joël Genazzi et Andreï Bykov ont un point commun: ils ont vécu leur baptême du feu chez les professionnels avec Gottéron alors que les résultats de l’équipe de ligue A n’étaient pas brillants. C’était en 2002-2003 pour Sprunger, en 2005-2006 pour Lauper et en 2006-2007 pour Bykov et Genazzi. Un junior a souvent plus de temps de glace que prévu lorsque tout va mal. Il profite des blessures des professionnels – plus facilement touchés parce qu’ils sont poussés à leurs limites, selon Paul-André Cadieux – et d’une vitrine exceptionnelle.

Tous les juniors envoyés au charbon n’ont pas le talent ou la possibilité de faire leurs armes au plus haut niveau. Tony Matewa ou Luca Knutti, lancés dans le grand bain voici deux ans, en sont des exemples vivants. Mais un

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