La Liberté

Daech revendique l'attentat de Nice

84 personnes ont été tuées jeudi soir dans une attaque à Nice, en France, lorsqu'un camion a foncé sur la foule qui assistait au feu d'artifice du 14 juillet. L'assaillant a également tiré sur la foule, très dense, avant d'être abattu par la police. 

L'attentat de Nice vu par notre dessinateur Alex, en Une de «La Liberté» de samedi. © ALEX
L'attentat de Nice vu par notre dessinateur Alex, en Une de «La Liberté» de samedi. © ALEX
Sur la Promenade des Anglais, une jeune femme rend hommage aux victimes de la tuerie perpétrée par un homme au volant d'un camion, jeudi soir à Nice. © Keystone
Sur la Promenade des Anglais, une jeune femme rend hommage aux victimes de la tuerie perpétrée par un homme au volant d'un camion, jeudi soir à Nice. © Keystone
Les inspecteurs de la police française étaient à pied d'oeuvre vendredi matin, quelques heures à peine après le drame. © Keystone
Les inspecteurs de la police française étaient à pied d'oeuvre vendredi matin, quelques heures à peine après le drame. © Keystone
La police forensique est à l'oeuvre à Nice, au lendemain de l'attaque qui a coûté la vie à 84 personnes. © Keystone
La police forensique est à l'oeuvre à Nice, au lendemain de l'attaque qui a coûté la vie à 84 personnes. © Keystone
Le «camion de l'horreur» a été criblé de balles. © Keystone
Le «camion de l'horreur» a été criblé de balles. © Keystone

AS/FT

Publié le 16.07.2016

Temps de lecture estimé : 24 minutes

Le point à 19h00

>> L'Etat islamique a revendiqué samedi matin l'attentat du 14 juillet par le biais de l'agence Amaq.

>> Le chauffeur du camion, Mohamed Lahouaiej Bouhlel, n'était pas connu des services de renseignement, et s'était radicalisé quelques jours avant de commettre son acte. Ces informations ont été livrées par un proche du terroriste placé en grade à vue. 

>> Le bilan s'établit toujours à 84 morts, dont une dizaine d'enfants, mais une cinquantaine de personnes se trouvent toujours en réanimation.

>> La Promenade des Anglais a rouvert au public samedi aux alentours de midi. Les Niçois y ont multiplié les hommages aux victimes dans une atmosphère de recueillement. Un groupe d'imams est venu déposer une couronne de fleurs en signe de solidarité.

>> La prolongation de l'état d'urgence pour trois mois supplémentaires devrait être votée avant le 26 juillet. 

>> Samedi a débuté une période de trois jours de deuil national qui s'achèvera lundi.

>> Les réactions se multiplient à droite et à l'extrême-droite pour critiquer les lacunes de la politique sécuritaire menée par le gouvernement de gauche. 

 


18h00 - L'exploitation politicienne s'intensifie

Les politiciens de droite et d'extrême-droite multiplient les déclarations pour pointer l'incapacité du gouvernement à endiguer la menace terroriste sur le territoire français. Marine Le Pen réfute ainsi que «la seule folie humaine» puisse «expliquer un attentat terroriste d'une telle ampleur», et y voit une tentative «de dégager le gouvernement de sa responsabilité». La présidente du Front National estime que l'attentat met en lumière «les carences gravissimes de l'Etat dans sa mission première, celle de la protection des citoyens».


Ancien maire de la ville de Nice, et adjoint au maire actuel, Christian Estrosi (LR) s'est pour sa part interrogé, dans une lettre ouverte aux Niçois, sur le refus que lui a opposé l'Etat d'augmenter les moyens pour lutter face au terrorisme:  «Pourquoi, alors que depuis deux ans, je ne cesse de réclamer du gouvernement de nouveaux moyens de combattre le terrorisme, des moyens en armement pour nos policiers nationaux et municipaux, des moyens réglementaires, des moyens législatifs, on ne m’a jamais répondu?».

 

Marion Maréchal-Le Pen estime quant à elle que «l'heure n'est plus aux bougies, aux marches blanches, aux #JeSuisNice», et menace: «Soit vous êtes avec nous, contre l'islamisme, soit vous êtes contre nous, avec l'islamisme», concluant que «si nous ne tuons pas l'islamisme, c'est l'islamisme qui nous tuera».

 


15h30 - Un proche a parlé en garde à vue

C'est un proche de l'auteur de l'attentat qui a révélé en garde à vue que Mohamed Lahouaiej Bouhlel s'était radicalisé en quelques jours, se laissant notamment pousser la barbe. Le terroriste avait dans un premier temps été dépeint comme buveur, coureur de jupons, et n'ayant aucun lien avec l'islamisme radical. 

 


14h30 - Les Niçois se recueillent sur «La Prom'» 

L'ambiance est au recueillement sur La Promenade des Anglais, qui a rouvert au public samedi peu après midi. Les Niçois y déposent des fleurs et d'autres hommages aux victimes de l'attentat de jeudi.

 


13h45 - Une radicalisation rapide

Le ministre de l'intérieur français Bernard Cazeneuve a affirmé samedi après-midi, sur le parvis de l'Elysée,  que Mohamed Lahouaiej Bouhlel n'était pas connu des services de renseignement, et a évoqué une «radicalisation rapide» de l'auteur de la tuerie.

 


13h15 - L'efficacité de l'état d'urgence contestée

Un projet de loi sera présenté en conseil des ministres mardi prochain, afin qu'une nouvelle prolongation de trois mois de l'état d'urgence puisse être votée avant le 26 juillet. Une mesure qui laisse les experts sceptiques. C'est le cas de Claude Moniquet, cofondateur et codirecteur d’ESISC (European Strategic Intelligence and Security Center), qui dans notre édition du jour estime qu'«objectivement, non», elle ne sert à rien, lui concédant tout au plus un «impact pyschologique» sur la population. Claude Moniquet qui constate également que pour sa première utilisation, l'alerte attentat, déclenchée plus de deux heures après l'attaque, n'a pas eu l'effet escompté.

>>> Lire l'interview dans son intégralité


12h30 - La Promenade des Anglais rouvre

La célèbre avenue, qui a été le théâtre de l'attentat de vendredi, est progressivement rouverte. Les piétons ont commencé à la réinvestir, les voitures devraient suivre ultérieurement. 

 


11h45 - La coalition visée, le gouvernement se réunit

Citée par l'ATS, l'agence Amaq affirme que «l'auteur de l'opération (...) menée à Nice en France est un soldat de l'Etat islamique. Il a exécuté l'opération en réponse aux appels lancés pour prendre pour cible les ressortissants des pays de la coalition qui combat l'EI». 

Le président français a convoqué samedi matin un conseil de sécurité, à la suite duquel il a réuni les membres du gouvernement. C'est au cours de cette seconde réunion que les autorités françaises ont appris, par voie de presse, la revendication de l'attentat, dont les services de renseignements sont en train de vérifier l'authenticité. Le gouvernement n'a pour l'heure pas commenté la nouvelle.

 


10h30 - Daech revendique l'attentat

L'État islamique a revendiqué samedi via l'agence Amaq, proche de l'état-major de l'organisation, l'attentat perpétré jeudi à Nice par Mohamed Lahouaiej Bouhlel, causant la mort de 84 morts. L'auteur aurait prêté allégeance au groupe terroriste, qui le présente dans son communiqué comme un «soldat».
 

Cette revendication intervient au premier des trois jours du deuil national décrété par le président français François Hollande. Trois personnes ont été arrêtées samedi matin à Nice, a-t-on par ailleurs appris de source policière

Sur le terrain international, le Brésil a décidé vendredi, au lendemain de l'attentat, de renforcer la sécurité des jeux Olympiques 2016 de Rio de Janeiro, qui se dérouleront du 5 au 21 août.   

 


9h30 - Des hommages dans le monde entier

De nombreux monuments se sont parés des trois couleurs du drapeau français en hommage aux victimes de l'attentat sur la Promenade des Anglais, rapporte samedi le quotidien Nice Matin.

 


7h20 - L'attentat de Nice vu par notre dessinateur ALEX


6h30 - «La Liberté» consacre une grande partie de son édition du week-end aux événements niçois

Pluie de larmes sur Nice
Utilité contestée de l’état d’urgence
«C’était une vraie scène de guerre»
Compétences plutôt que surveillance
Tourisme frappé de plein fouet
«Instinct de survie animal»

 


Le résumé à 14h00

>> Sur la Promenade des Anglais, à Nice (F), un camion a fait des dizaines de morts en fonçant sur la foule rassemblée pour les festivités du 14 juillet.

>> Le chauffeur du véhicule, qui a également tiré sur la foule, a été tué par la police. Il était en possession d'armes et de grenades. Il s'agit d'un Tunisien de 31 ans connu des services de police pour de la délinquance, mais pas fiché S.

>> Le bilan s'est alourdi en début de journée pour s'établir à 84 morts, dont une dizaine d'enfants. Il y aurait également 18 blessés en état d'«urgence absolue».

>> Le président François Hollande a annoncé le maintien de l'état d'urgence, dont la levée venait le jour même d'être annoncée, pour une durée de trois mois. Par ailleurs, un deuil national de trois jours sera observé. 

>> Une Tessinoise figure parmi les victimes. L'information doit encore être confirmée par le DFAE.

>> Le chauffeur du camion a été formellement identifié par la police.


23h00 - Un camion fonce sur la foule

Vers 23h00, c'est le choc à Nice: un camion fonce sur la foule rassemblée sur la Promenade des Anglais pour les festivités du 14 juillet. Les premiers récits font froid dans le dos. «C'est indescriptible tellement on est dans l'horreur. Je vois des corps, des membres partout autour de moi», indique un témoin, tandis qu'une autre personne affirme que le chauffeur faisait des zigzag pour tuer un maximum de gens. Les habitants sont appelés à rester chez eux, alors qu'un périmètre de sécurité est aussitôt mis sur pied.


23h00 - Un attentat aussitôt évoqué

A peine la course macabre du camion stoppée, les autorités évoquent un «attentat». La longueur du parcours (2 km) ne laisse pas place au doute: le geste est volontaire. 

 


00h00 - La pire attaque de l'histoire de la ville

Le bilan s'alourdit au fil des minutes. Tandis que des images effroyables arrivent sur les réseaux sociaux, le maire de Nice Christian Estrozi annonce déjà un terrible bilan de plus de 70 morts. Il sera encore revu à la hausse (au moins 80 morts) quelques heures plus tard. 

 


01h00 - Réunion d'urgence au sommet de l'Etat

François Hollande, qui se trouvait à Valence (sud-est de la France) pour les festivités du 14 juillet, s'est aussitôt rendu au centre de crise du Ministère de l'Intérieur. Il s'est entretenu avec son Premier ministre Manuel Valls, tandis que le ministre de l'intérieur Bernard Cazeneuve prenait, lui, la direction de Nice. Une réunion de crise du cabinet de sécurité de l'Elysée est prévue pour 9h00.


02h30 - Les réactions internationales

Quelques heures à peine après les faits, les condamnations pleuvent déjà sur la scène internationale.

Barack Obama, président des Etats-Unis: «Nous sommes en solidarité et aux côtés de la France, notre plus vieil allié. (...) Nos pensées et prières sont avec les familles et les proches de ceux qui ont été tués. En ce 14 juillet, nous nous rappelons des valeurs démocratiques qui ont fait de la France une inspiration pour le monde entier.

Donald Tusk, président du Conseil européen: «C'est un tragique paradoxe de tuer des gens qui sont en train de fêter la liberté, l'égalité et la fraternité.» 

Justin Trudeau, Premier ministre du Canada: «Les Canadiens sont bouleversés par l'attentat. Notre sympathie va aux victimes et notre solidarité au peuple français.»

Mais aussi de nombreux autres:


03h00 - Johann Schneider-Ammann réagit à son tour

Le Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) a indiqué tôt vendredi matin être en contact avec les autorités françaises. Des vérifications sont en cours pour savoir si des ressortissants suisses se trouvent parmi les victimes. Le président de la Confédération Johann Schneider-Ammann a, de son côté, fait part sur Twitter de sa solidarité avec la France.


05h00 - La réaction de François Hollande

Le président français a pris la parole tôt vendredi. Affirmant que tous les moyens possibles étaient engagés sur le terrain, il a indiqué que le «plan blanc» avait été activé, avec la mobilisation de tous les hôpitaux de la région.

«Après Paris en janvier, c'est Nice qui est touchée: toute la France est menacée par le terrorisme islamiste», a affirmé François Hollande. Alors que l'identification est «encore en cours» de ses dires, le président français a déjà pointé du doigt le terrorisme islamiste.


06h00 - Un Tunisien de 31 ans?

Selon plusieurs médias français, qui citent une source policière, des papiers d'identité au nom d'un Tunisien ont été retrouvés à l'intérieur du véhicule ayant servi à l'attentat. «L'identification du chauffeur du camion est encore en cours», a précisé la source. Sur les papiers d'identité, l'homme est âgé de 31 ans et domicilié à Nice, a-t-elle ajouté. Il serait connu des services de police pour de la petite délinquance. 


06h15 - L'état d'urgence prolongé 

Alors que la fin de l'état d'urgence avait été annoncée ce jeudi pour le 26 juillet (Lire notre news), l'attaque de Nice a changé la donne: il sera prolongé pour trois mois au moins «J'ai décidé que l'état d'urgence, qui devait prendre fin le 26 juillet, sera prolongé de trois mois», a expliqué François Hollande (voir ci-dessus). «Un projet de loi sera soumis au Parlement d'ici la semaine prochaine», a-t-il précisé.

>> Lire notre news détaillée sur les faits


07h20 - Le drame fait la Une de la presse

Contrairement aux journaux romands, pour lesquels l'annonce du drame est intervenue trop tardivement, la presse française a réussi à glisser la terrible nouvelle dans ses pages. «L'horreur»: le mot qui revient sur de nombreuses Unes.


«Ça tirait depuis le camion»

Les chaînes d'info en continu, qui ont logiquement couvert le drame durant toute la nuit, ont réussi à récolter quelques témoignages.

 


Le rôle-clé des réseaux sociaux 

Comme souvent lors des récents drames du genre, les réseaux sociaux jouent un rôle capital mais aussi controversé: ils ont permis de lancer des appels, que ce soit pour retrouver des personnes dans la zone ou pour trouver refuge chez des particuliers via le hashtag #PortesOuvertesNice. 

A contrario, la police a dû passer plusieurs appels à ne pas diffuser les images des victimes, par respect pour leurs proches. Parmi les principaux visés, Wikileaks, qui a suscité la controverse en diffusant sur Twitter une vidéo des corps étendus après le passage du camion.


Le bus tueur, un mode d'attaque déjà utilisé par le passé

La course folle d'une voiture ou d'un camion comme arme de terreur: le poids lourd qui a fauché mortellement au moins 84 personnes jeudi soir à Nice dans le sud-est de la France, renvoie à un modus operandi connu des services de l'antiterrorisme. Une telle utilisation de véhicules n'est pas une première en Occident: deux précédents ont eu lieu ces dernières années.

>> Lire notre article


Le Conseil de défense commence

Entouré de ses ministres, François Hollande vient de lancer la réunion de crise.


Nice s'était pourtant préparée

La question est sur toutes les lèvres au lendemain de la terrible attaque: n'y avait-il pas un périmètre de sécurité pour empêcher un homme de faire un carnage au volant d'un camion? La ville de Nice s'était pourtant préparée: des simulations avaient été effectuées, notamment en marge de l'Euro 2016 dont la ville azuréenne était hôte, et la mer était sécurisée.

>> Lire l'article du Monde

Cela n'a pas empêché les critiques de pleuvoir, notamment de la part du maire de Nice en personne. Sur de nombreux plateaux TV, Christian Estrozi a fait part de son étonnement.


Attentat de Nice - Christian Estrosi sous le choc par LePoint


Le bilan encore revu à la hausse

Selon un bilan qui semble désormais stabilisé, les autorités évoquent 84 morts dont «une dizaine d'enfants». Il y aurait par ailleurs 18 personnes en état d'«urgence absolue» ainsi que de nombreux blessés.

 


Une Tessinoise est décédée dans l'attaque

Une femme de 54 ans résidant à Agno, au Tessin, figure parmi les 84 victimes de l'attentat perpétré hier à Nice. Selon le Corriere del Ticino, la malheureuse se trouvait en vacances avec son époux. La nouvelle n'a pas encore été confirmée par le DFAE, qui devrait bientôt fournir davantage d'informations sur la présence d'autres Suisses parmi les morts ou blessés. (photo: © Keystone)


Une minute de silence sur le Tour de France

Officiels et coureurs de la Grande Boucle se sont recueillis ce matin au départ de la 13e étape, un contre-la-montre entre Bourg Saint-Andéol et La Caverne du Pont d'Arc. 

 


Le chauffeur du camion formellement identifié


Le parcours du camion «tueur» retracé par le New York Times

Le New York Times propose une reconstitution du parcours du camion, depuis sa bifurcation sur la Promenade des Anglais jusqu'au moment où le chauffeur a été abattu par les balles de la police. Sa dernière accélération a été particulièrement meurtrière. 


Opérations policières en cours

«Plusieurs opérations sont actuellement en cours vendredi matin, notamment à Nice», ont indiqué à l'AFP des sources policières. Une équipe d'intervention mène notamment une perquisition au domicile du chauffeur du camion, dont les papiers d'identités ont été retrouvés dans l'habitacle.

 


La page Facebook de l'EI désactivée

​La page francophone Facebook du groupe Etat islamique a été désactivée, rapporte David Thomson, journaliste spécialiste des djihadistes français et tunisiens.


Le DFAE confirme la victime suisse

Le décès d'au moins une victime suisse est confirmé par le DFAE. Comme indiqué ci-dessus, il s'agit selon les médias tessinois d'une femme de 54 ans résidant à Agno (TI). Une Helpline a été mise en service. Elle est joignable via les numéros +41 800 24-7-365 et +41 58 465 33 33.

Par ailleurs, le Parlement helvétique a exprimé sa sympathie envers les familles des victimes. Johann Schneider-Ammann avait déjà condamné l'attentat, se disant «choqué» (voir ci-dessus).


Trois jours de deuil national


Des touristes suisses rentrent

RTSinfo a recueilli le témoignage de touristes suisses qui étaient présents sur les lieux des faits. Très choquée, une jeune fille a confié avoir eu «la peur de sa vie». Le voyagiste Hotelplan a proposé à ses cinq clients présents sur place de rentrer plus tôt, et deux ont déjà accepté, ajoute RTSinfo. Par ailleurs, Swiss a proposé l'annulation gratuite à toute personne au bénéfice d'un vol pour ou depuis Nice d'ici fin juillet. Une nouvelle date peut être fixée jusqu'au 30 septembre.


«Beaucoup d'enfants» parmi les victimes

François Hollande s'exprime pour la deuxième fois, après son intervention de la nuit dernière, sur l'attaque de Nice. Le président français indique que «beaucoup d'enfants» figurent parmi les 84 morts.


Deux Suisses parmi les victimes

Un enfant de nationalité suisse est également décédé dans l'attentat, en plus de la Tessinoise de 54 ans dont la mort avait déjà été confirmée par le DFAE.

 

 

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