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Un pays toujours sous haute tension

Malgré l’accord du 24 novembre 2016, Amnesty International dénonce une hausse des violences

Propos recueillis par 
 Sevan Pearson

Publié le 25.07.2017

Temps de lecture estimé : 5 minutes

Colombie »   Le 3e cycle de négociations entre le gouvernement colombien et l’Armée de libération nationale (ELN) en vue d’aboutir à un cessez-le-feu s’est ouvert hier à Quito (Equateur). Ce mouvement de guérilla né dans les années 1960 se revendique du castrisme et vise la prise de pouvoir. Contrairement aux Forces armées révolutionnaires de Colombie (Farc) – avant tout composées de groupes paysans d’autodéfense d’obédience marxiste – elle n’a pas signé l’accord de paix du 24 novembre dernier.

Celui-ci est censé mettre fin à 50 ans de guerre civile, ayant provoqué 260 000 morts et de 6 à 7 millions de déplacés. Depuis les années 1960, la Colombie est secouée par des violences entre l’armée nationale, les paramilitaires, les Far

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