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«Je peux être une bonne pioche»

L’avenir d’Alain Birbaum est suspendu à celui de Martigny, déclaré en faillite. Une situation difficile

Après plusieurs exercices en demi-teinte en ligue A avec Gottéron ou Ambri, Alain Birbaum a retrouvé un différentiel (plus/minus) positif la saison dernière avec Martigny en ligue B. © Sacha Bittel/Le Nouvelliste
Après plusieurs exercices en demi-teinte en ligue A avec Gottéron ou Ambri, Alain Birbaum a retrouvé un différentiel (plus/minus) positif la saison dernière avec Martigny en ligue B. © Sacha Bittel/Le Nouvelliste

Patricia Morand

Publié le 23.06.2017

Temps de lecture estimé : 4 minutes

Hockey sur glace »   A 31 ans, Alain Birbaum se retrouve sans employeur et, surtout, dans le flou le plus complet concernant son avenir. Le défenseur fribourgeois pensait disputer une deuxième saison de ligue B avec Martigny, dès le mois de septembre prochain. Il a appris la mise en faillite du club d’Octodure par la presse le 14 juin dernier. Comme d’autres, il attend les résultats du recours devant être déposé aujourd’hui contre la décision de justice par un groupe de soutien emmené par l’ancien président du club valaisan Patrick Polli. Il sonde également le marché, dans l’espoir de retrouver un club, et entraîne sa condition physique.

Ils ont reçu leur argent

Les problèmes du club martignerain ne sont pas tombés du ciel. «Depuis l’automne dernier, les salaires étaient rarement versés le 25 du mois, comme prévu, rappelle Alain Birbaum. Mais à chaque fois, le président (Mike Echenard, ndlr) ou Andrey Nazheskin (l’actionnaire russe qui avait permis à Martigny de retrouver la li

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