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Ariane Ferrier, à jamais légère

Ariane Ferrier en 2014 à la sortie de Fragile, livre qui réunissait nombre de ses chroniques écrites pour La Liberté. © Alain Wicht
Ariane Ferrier en 2014 à la sortie de Fragile, livre qui réunissait nombre de ses chroniques écrites pour La Liberté. © Alain Wicht

pascal bertschy

Publié le 28.11.2017

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Le mot de la fin

Comme vous l’aimiez! Vous lecteurs et surtout lectrices de La Liberté, vous nous le disiez: vous ne ratiez aucune de ses chroniques dans nos pages. Normal: elle était la plus amusante, la plus loufoque, la plus snob et la plus légère des plumes romandes.

La triste nouvelle, vous la connaissez sans doute déjà: Ariane Ferrier s’est éteinte dimanche soir, après avoir lutté pendant près de deux ans contre la maladie.

Ariane ne se glissait dans aucune norme. D’ailleurs, le 8 décembre 1958, elle a fait d’entrée son originale. En naissant à Genève dans une famille dorée de quatre enfants, dont le père est un grand banquier privé.

Enfant, elle suit sa scolarité dans des pensionnats huppés – dont celui de Pensier. Entre futures princesses et fils d’émirs arabes, so

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