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Heureux les parents qui doutent!

Education • On ne peut pas «contrôler» les jeunes. Le constat d’une réalité qui a amené des éducateurs genevois à revoir complètement leur approche éducative. Un livre en témoigne.

«C’est en lâchant prise que les éducateurs récupèrent de la force», a constaté Francesca Sacco. © Alain Wicht
«C’est en lâchant prise que les éducateurs récupèrent de la force», a constaté Francesca Sacco. © Alain Wicht
«C’est en lâchant prise que les éducateurs récupèrent de la force», a constaté Francesca Sacco. © Alain Wicht
«C’est en lâchant prise que les éducateurs récupèrent de la force», a constaté Francesca Sacco. © Alain Wicht

Claudine Dubois

Publié le 25.11.2014

Temps de lecture estimé : 8 minutes

«J’étais la plus mauvaise journaliste qui soit pour parler d’éducation, car je n’ai pas d’enfants. Mais en même temps, je n’avais pas d’a priori», confie Francesca Sacco, journaliste indépendante, et auteure de «Tout va bien, nous sommes paumés! Heureux les parents qui doutent», paru aux Editions l’Instant Présent. Pendant près de cinq ans, elle a suivi le quotidien d’éducateurs genevois de la Fondation officielle de la jeunesse (FOJ), qui encadrent neuf adolescents au Foyer du Grand-Saconnex.

Ils lui ont donné carte blanche pour témoigner de leur changement profond d’approche de l’éducation. L’arrivée dans le foyer de deux filles dites «ingérables», le constat qu’on ne peut pas «contrôler» les jeunes et une formation à l’Approche centrée su

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