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«Beurk, des bactéries fécales!»

L’Uni de Fribourg proposait samedi aux visiteurs d’analyser les traces d’ADN présentes sur une pizza

En comparant la séquence d’ADN qu’ils ont reçue à une base de données, les participants ont pu découvrir les espèces vivantes trouvées sur des pizzas. © Charly Rappo
En comparant la séquence d’ADN qu’ils ont reçue à une base de données, les participants ont pu découvrir les espèces vivantes trouvées sur des pizzas. © Charly Rappo

Nicolas Maradan

Publié le 26.09.2016

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Portes ouvertes » Spécialiste en bio-informatique, le professeur Laurent Falquet sait mettre les gens en appétit. «Sur une pizza, nous retrouvons environ dix-huit espèces vivantes différentes», lance-t-il en sortant du micro-ondes quelques margheritas fumantes. Bien sûr, il y a la tomate et le blé transformé en farine. Ou encore la bufflonne dont le lait a servi à fabriquer la mozzarella. «Mais il y a aussi des espèces vivantes qui se retrouvent là par erreur. Sur une pizza, on peut par exemple retrouver un poil de barbe tombé du menton du cuisinier», ajoute le chercheur.

Moues dégoûtées parmi le public qui, samedi après midi, est venu assister au petit atelier proposé par le professeur Falquet dans le cadre des premières journées portes ouvertes de l’Université de Fribourg, qui ont attiré près

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