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Elle offre une visibilité aux écrivains

La revue littéraire Le Scribe, qui a fêté ses 20 ans, souhaite rajeunir son lectorat pour assurer son avenir

Le Scribe a bien changé en 20 ans. Son fondateur Michel Dizerens et la présidente de l’association Filomena Campoli comparent le premier numéro avec le 77, le dernier en date. © Alain Wicht
Le Scribe a bien changé en 20 ans. Son fondateur Michel Dizerens et la présidente de l’association Filomena Campoli comparent le premier numéro avec le 77, le dernier en date. © Alain Wicht

delphine francey

Publié le 21.11.2016

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Moudon »   Il est loin le temps où Michel Dizerens, aidé de son épouse Micheline, tapait à la machine à écrire les textes qu’il allait ensuite agrafer dans sa brochure d’une trentaine de pages Le Scribe du P’tit Broyard. Aujourd’hui, vingt ans après, la revue littéraire rebaptisée Le Scribe se présente sous la forme d’un livre d’une petite centaine de pages recueillant plusieurs dizaines de textes d’écrivains reconnus ou débutants. Et elle est pilotée par un comité de sept amoureux de la langue française.

Samedi à Moudon, Michel Dizerens a rejoint ses amis de l’association Le Scribe pour fêter les vingt ans du périodique ainsi que la remise des prix du treizième concours littéraire Le Scribe d’Or. Assis à une table, le Broyard compare le numéro 1 du Scribe av

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