L’aquagym, une histoire presque vraie
Les organisatrices tirent un bilan positif de la première édition du Perform Perform Festival
Tamara Bongard
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Guin » Dans la touffeur du Bad Bonn, à Guin, parler d’eau faisait du bien, samedi. Surtout avec un ton décalé des plus rafraîchissants. Vêtues de leur plus beau costume de bain, et de mini-shorts très à propos, Clélia Barbut et Charlotte Hubert ont plongé dans un sport aquatique très populaire et ont dévoilé leurs recherches au public lors de leur conférence déjantée consacrée à L’Aquagymologie. Les deux jeunes Françaises, qui étaient à l’affiche du premier Perform Perform Festival dédié à la performance artistique, ont certainement provoqué davantage de sourires que de vocations sportives.
Des «hôtesses de mer»Assises chacune à une table éclairée par une lampe de bureau, ces deux scientifiques, qui se sont rencontrées dans un cours d’abdo-fessiers, ont lu avec sérieux leur travail d’étude, agrémenté d’un Powerpoint. Elles ont tout d’abord relevé que l’aquagym n’existait pas aux yeux de la science et qu’elles avaient donc dû tout créer. Cette activité aquatique, née à l’ombr