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Un salon de coiffure entre au musée

Typique des années 1960, le salon d’une coiffeuse fribourgeoise va être conservé au Musée national

Les spécialistes du Musée national suisse ont démonté le salon de Rose-Marie Baeriswyl pièce par pièce pour emporter l’ensemble à Zurich, linoléum et tapisseries compris. © Musée national suisse
Les spécialistes du Musée national suisse ont démonté le salon de Rose-Marie Baeriswyl pièce par pièce pour emporter l’ensemble à Zurich, linoléum et tapisseries compris. © Musée national suisse
Les spécialistes du Musée national suisse ont démonté le salon de Rose-Marie Baeriswyl pièce par pièce pour emporter l’ensemble à Zurich, linoléum et tapisseries compris. © Vincent Murith
Les spécialistes du Musée national suisse ont démonté le salon de Rose-Marie Baeriswyl pièce par pièce pour emporter l’ensemble à Zurich, linoléum et tapisseries compris. © Vincent Murith
Les spécialistes du Musée national suisse ont démonté le salon de Rose-Marie Baeriswyl pièce par pièce pour emporter l’ensemble à Zurich, linoléum et tapisseries compris. © Vincent Murith
Les spécialistes du Musée national suisse ont démonté le salon de Rose-Marie Baeriswyl pièce par pièce pour emporter l’ensemble à Zurich, linoléum et tapisseries compris. © Vincent Murith
Les spécialistes du Musée national suisse ont démonté le salon de Rose-Marie Baeriswyl pièce par pièce pour emporter l’ensemble à Zurich, linoléum et tapisseries compris. © Vincent Murith
Les spécialistes du Musée national suisse ont démonté le salon de Rose-Marie Baeriswyl pièce par pièce pour emporter l’ensemble à Zurich, linoléum et tapisseries compris. © Vincent Murith

Anne Rey-Mermet

Publié le 21.04.2017

Temps de lecture estimé : 7 minutes

Fribourg »   Des déménageurs d’un genre particulier s’activent dans cet appartement de la rue Saint-Pierre, à Fribourg. Tous les éléments de ce qui fut, plus de septante années durant, un salon de coiffure, sont soigneusement répertoriés, étiquetés, emballés et entreposés dans des caisses. C’est un destin peu commun qui attend le décor de ces lieux, aménagés à l’aube des années 1960 par Georges Baeriswyl pour sa sœur Rose-Marie. L’intégralité du salon, qui n’a que peu changé depuis son inauguration, va rejoindre le Musée national suisse à Zurich. Il sera remonté à l’identique lors d’expositions thématiques.

«En janvier, ma tante m’a demandé de voir s’il était possible de remettre le matériel de son

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