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Une étrange histoire de crossfit

Malgré un plan de protection validé, Sarine Crossfit a dû fermer ses vastes espaces

Dan et Cindy Ottiger-Mankaka, de Sarine Crossfit, se désolent que le sport soit une victime collatérale du coronavirus. © Alain Wicht
Dan et Cindy Ottiger-Mankaka, de Sarine Crossfit, se désolent que le sport soit une victime collatérale du coronavirus. © Alain Wicht

François Mauron

Publié le 24.12.2020

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Santé » Ouvert ou fermé? A l’instar des fitness, les salles de crossfit ont pu reprendre – en tout cas partiellement – leurs activités ces derniers jours, après avoir été bouclées par le Conseil d’Etat fribourgeois le 4 novembre à cause du Covid-19. Cette activité combine principalement la force athlétique, l’haltérophilie, la gymnastique et les sports d’endurance. Elle se pratique généralement en groupe.

Or à Villars-sur-Glâne, la société Sarine Crossfit a traversé cette période tourmentée de façon on ne peut plus étrange. Fermée durant deux semaines, elle a pu ensuite rouvrir ses portes, avant que les autorités ne la forcent à les clore à nouveau. «Ce qui s’est passé est incompréhensible. L’ordonnance du Conseil d’Etat prévoyait qu’il était possible de pratiquer une activité comme le crossfit pour des groupes de dix personnes au maximum, pour autant que l’espace soit suffisant. Grâce à nos locaux très vastes, nous pouvions respecter les normes de sécurité requises et avion

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