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Avec les artistes, de l’opéra à l’apéro

Réveillon Que se passe-t-il à Equilibre entre la fin de la représentation et le passage à l’an neuf? Reportage dans les coulisses de l’«Enlèvement au sérail», du champagne de fin de spectacle au buffet de fin d’année.

L’opéra s’achève sur le triomphe de l’amour et du pardon, tout le monde est content. Que la fête du Réveillon commence dans les coulisses, derrière le rideau retombé! © Vincent Murith/La Liberté
L’opéra s’achève sur le triomphe de l’amour et du pardon, tout le monde est content. Que la fête du Réveillon commence dans les coulisses, derrière le rideau retombé! © Vincent Murith/La Liberté
La tension de la représentation se dissout dans la bonne humeur dans les vestiaires. © Vincent Murith/La Liberté
La tension de la représentation se dissout dans la bonne humeur dans les vestiaires. © Vincent Murith/La Liberté
Les artistes quittent leurs personnages pour redevenir eux-mêmes. © Vincent Murith/La Liberté
Les artistes quittent leurs personnages pour redevenir eux-mêmes. © Vincent Murith/La Liberté
Le chef Laurent Gendre partage une flûte de champagne avec les artistes. © Vincent Murith/La Liberté
Le chef Laurent Gendre partage une flûte de champagne avec les artistes. © Vincent Murith/La Liberté
Après le champagne, place au buffet aux senteurs asiatiques dans le porte-à-faux du septième étage du théâtre Equilibre. © Vincent Murith/La Liberté
Après le champagne, place au buffet aux senteurs asiatiques dans le porte-à-faux du septième étage du théâtre Equilibre. © Vincent Murith/La Liberté

Antoine Rüf

Publié le 03.01.2015

Temps de lecture estimé : 3 minutes

Mercredi soir 31 décembre, 21 h 40. Pour la dernière fois de l’année, le rideau du théâtre Equilibre se ferme, sous les applaudissements du public, sur les chanteurs et le chef qui viennent d’achever l’«Enlèvement au sérail», le chef-d’œuvre de Mozart monté cette année par l’Opéra de Fribourg.

«C’est une tradition qui remonte aux premières années de l’Opéra», explique le président Alexandre Emery en débouchant les premières bouteilles. «Fribourg a gardé la convivialité, le côté festif de l’époque de l’amateurisme». Un côté apprécié par les artistes venus d’ailleurs, où le contact n’est pas toujours aussi chaleureux et informel.

Derrière le plateau, entre l

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