Savoir ou ne pas savoir rebondir
Baskteball/Ligue A • Archidominé sous les paniers, Olympic s’incline contre Union Neuchâtel. Une défaite qui met sous pression les Fribourgeois, condamnés à réagir samedi à Bâle.
François Rossier
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Pas besoin de longs discours pour expliquer la défaite du Fribourg Olympic hier contre Union Neuchâtel. Deux chiffres suffisent: 29-47, soit les totaux des rebonds grappillés par chaque équipe. Une différence abyssale qui ne donne que peu d’espoir à l’équipe dominée de s’en sortir. Cela s’est encore une fois vérifié hier à Saint-Léonard, où Olympic, incapable de contrôler ce secteur clé, a craqué en fin de match (73-79).
«Concéder 18 rebonds offensifs, c’est trop, reconnaît Marko Kraljevic. On sait que Neuchâtel est redoutable dans ce domaine. L’absence d’Arnaud (Cotture, ndlr) ne nous a pas aidés (voir ci-dessous), mais la différence est quand même grande. On le voit aussi avec les 34 points de Neuchâtel dans la raquette (22 pour Olympic)…»
Des mauvais