Très cher Tour, mon amour
François Rossier
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Chronique - Remerciements. A toi, très cher Tour, mon amour… Une attaque de chronique «cupidonesque» pour te dire d’emblée à quel point mon cœur bat la chamade en te retrouvant chaque été. Je suis tombé amoureux de toi il y a près d’une trentaine d’années maintenant. Je ne parle pas d’un amour hystérique ou fanatique, mais d’un amour sincère. Ceux qui te reprochent l’ennui télévisuel d’un Grand Prix de formule 1 ne pourront sans doute pas comprendre le bonheur que j’ai à te suivre. Tant pis pour eux. Car si, au fil du temps, je t’ai découvert plein de petits défauts, qu’il m’arrive encore de pester contre toi, de regretter ton manque d’audace quand tu te complais dans le train-train quotidien d’une étape de plaine qui se termine par un sprint massif par exemple