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Le Tour révise ses classiques

Le passage dans les Alpes permet de perpétuer la légende de la compétition. L’Izoard en vedette

L’Espagnol Alberto Contador dans le col du Galibier le 21 juillet 2011. © Keystone-archives
L’Espagnol Alberto Contador dans le col du Galibier le 21 juillet 2011. © Keystone-archives

Julián Cerviño, 
Romans-sur-Isère

Publié le 19.07.2017

Temps de lecture estimé : 9 minutes

Tour de France »   «Le Tour de France découvre de nouveaux terrains, mais il entretient sa légende en empruntant aussi ses cols mythiques.» Double vainqueur du Tour de France (1975 et 1977), Bernard Thévenet résume la façon de procéder des organisateurs, auxquels il sert de conseiller et d’ambassadeur. Le Bourguignon se réjouit du prochain passage dans les Alpes, où la Grande Boucle révise ses classiques.

Les deux prochaines étapes du Tour s’annoncent aussi décisives que légendaires. Aujourd’hui, la Croix-de-Fer, le Télégraphe et le Galibier proposent un enchaînement corsé et archiconnu. Demain, la première arrivée de l’histoire au sommet de l’Izoard s’annonce comme le moment le plus décisif et mythique de la fin de cette Grande Boucle. Les coureurs craignent les pentes de ses monstres

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