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Métro, boulot, JO: Et soudain, tout s’arrête

Au cours des Jeux de Paris, nos envoyés spéciaux rédigent à tour de rôle une carte postale. Aujourd’hui, celle de François Rossier.

Quand Leon Marchand nage, les supporters n’ont d’yeux que pour le prodige français. Peu importe l’endroit. © Keystone
Quand Leon Marchand nage, les supporters n’ont d’yeux que pour le prodige français. Peu importe l’endroit. © Keystone

François Rossier

Publié le 04.08.2024

Temps de lecture estimé : 1 minute

Qu’on aime ou qu’on n’aime pas, il faut reconnaître que, depuis le début de ces Jeux, les Français accompagnent leurs athlètes avec une incroyable ferveur. Le sport tricolore cartonne, et les médailles se multiplient.

Avec 571 athlètes, le pays hôte est le plus représenté derrière les Etats-Unis (592). Plus il y a de sportifs, plus il y a de chances de médailles, et plus il y a d’occasions de fêter. Cela débouche sur de nombreuses scènes cocasses, voire surréalistes. On vous passe les détails des terrasses bondées qui se mettent à hurler après une touche à l’escrime, ou les cris de joie des gens dans le métro, agglutinés autour d’un portable, pour voir un waza-ari: c’est le quotidien depuis dix jours.

Ce qui l’est moins, mais qui témoigne de l’engouement des Français pour leurs champions, ce sont deux moments figés dans le temps où durant quelques minutes, tout s’est arrêté pour admirer les deux stars françaises de ces Jeux: Teddy Riner et Léon Marchand.

Alors que

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