Il était le cauchemar d’Ivan Lendl
Portrait de l’Alsacien Christophe Freyss, entraîneur à Romont mais aussi de Malek Jaziri, 47e mondial
Pierre Salinas
Temps de lecture estimé : 8 minutes
Tennis » Entre les tournois de Montpellier, où il est tombé au 2e tour, battu par le Français Richard Gasquet, et de Marseille, qui débute la semaine prochaine, Malek Jaziri, No 47 mondial, foule depuis lundi les courts du Centre Tennis Glâne, à Romont, où son nouvel entraîneur donne aussi des leçons. Car depuis le 1er janvier 2017, Christophe Freyss porte deux casquettes: quand il n’accompagne pas le professionnel tunisien, seizième de finaliste lors du dernier Open d’Australie, sur le circuit ATP, le Strasbourgeois de 60 ans éveille les jeunes Glânois aux plaisirs de la compétition, celle-là même qu’il a quittée en 1986, faute de résultats.
Car Christophe Freyss fut lui-même un excellent joueur. Matricule 82 en décembre 1980, il a mené 4-2 contre Björn Borg et 3-1 face à Jimmy Connors, sans jam