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La nuit avec ou sans le gilet

Les ambulanciers de Lausanne sont confrontés à des situations parfois mouvementées, mais pas toujours dangereuses. Intégrée dans le matériel, la protection pare-balles ne s’enfile qu’en de rares cas. Reportage

Il n’y a pas que les ambulanciers lausannois qui se protègent. Un collègue neuchâtelois enfile son gilet pare-balles, protégeant aussi des couteaux et même... des pics à glace. © David Marchon/L’Express-L’Impartial
Il n’y a pas que les ambulanciers lausannois qui se protègent. Un collègue neuchâtelois enfile son gilet pare-balles, protégeant aussi des couteaux et même... des pics à glace. © David Marchon/L’Express-L’Impartial

Jérôme Cachin

Publié le 22.02.2017

Temps de lecture estimé : 9 minutes

Premiers secours » Un ambulancier frappé en pleine intervention? La scène est assez rare. La mésaventure racontée par l’épouse d’un ambulancier dans une récente lettre de lecteur (notre édition du 2 février) semble plutôt isolée. Seuls quelques cas remontent chaque année aux oreilles de la hiérarchie du Service de protection et de sauvetage de Lausanne (SPSL).

Reste que les ambulanciers se protègent des risques de violence. Depuis quelques années, les gilets pare-balles sont présents dans les ambulances. On les enfile en cas de besoin. Mais de quoi est faite une vraie nuit d’ambulancier? Les situations à risque sont-elles nombreuses? Exemple à Lausanne dans la nuit du vendredi 17 au samedi 18 février.

Sept fois alertés

A la centrale des ambulanciers de la ville de Lausanne, rue César-Roux,

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