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«La peine de mort serait la ligne rouge»

Ankara réprime les auteurs du putsch manqué par milliers. La Suisse l’a appelé à la modération

Les ressortissants turcs qui habitent en Suisse n’ont rien à craindre, affirme Yves Rossier. © Aldo Ellena-archives
Les ressortissants turcs qui habitent en Suisse n’ont rien à craindre, affirme Yves Rossier. © Aldo Ellena-archives

Propos recueillis par Pierre-André Sieber

Publié le 26.07.2016

Temps de lecture estimé : 6 minutes

Turquie » La Suisse suit de très près les événements qui se déroulent en Turquie. Chef du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE), Didier Burkhalter a dit son soutien au gouvernement légitime et démocratiquement élu en Turquie, après avoir condamné de manière univoque la tentative de coup d’Etat militaire du 15 juillet. Mais il a aussi clairement appelé à plusieurs reprises les autorités turques à faire preuve de retenue au niveau des purges qui ont suivi ce putsch manqué. Les explications d’Yves Rossier, secrétaire d’Etat du DFAE.

Environ 50 000 personnes ont été touchées par les purges en Turquie, dont 42 journalistes visés par des mandats d’arrêt. Pourquoi la Suisse ne condamne-t-elle pas cette répression?

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