Le PLR espère stopper son érosion au Conseil national
Pris en tenailles entre l’UDC et les Vert’libéraux, et avec une ligne pas toujours audible, le grand vieux parti a fort à faire pour freiner son son érosion à la Chambre basse.
Albertine Bourget
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Elections fédérales » En début d’année, le président du Parti libéral-radical, Thierry Burkart, affichait crânement les ambitions électorales des siens: redevenir, aux dépens du Parti socialiste, la deuxième force politique du pays, derrière l’Union démocratique du centre (UDC). Depuis, les sondages sont venus tempérer ses ardeurs, classant le PLR en troisième position après l’échéance du 22 octobre. Début septembre, le dernier baromètre électoral de la SSR le donnait même dépassé par Le Centre. Si cela devait se confirmer, ce serait historique.
Au Conseil des Etats, les libéraux-radicaux devraient dépasser l’ex-PDC pour devenir le parti le plus représenté. La grande interrogation concerne le Conseil national: l’érosion du parti, avec des per