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Un homme, une marque

Sciences du vivant, start-up à succès et progression fulgurante dans les classements: Patrick Aebischer a imposé un style qui a fait de l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL) un modèle de réussite

Propos recueillis par pierre-andré sieber et Rachel richterich

Publié le 10.12.2016

Temps de lecture estimé : 17 minutes

Interview »  De son bureau, il aperçoit le lac Léman. Pourtant, c’est une toile du lac de Seedorf (FR) peinte par son père, Yoki Aebischer, qu’il a accrochée au mur. A côté, une œuvre en marqueterie, faite de la même main, représente une double-hélice d’ADN. Un peu plus loin, un tableau estampillé du chiffre «18 275»: le nombre d’alumni qui ont obtenu leur diplôme depuis son entrée en fonction à l’Ecole polytechnique fédérale de Lausanne (EPFL), ces anciens diplômés qui restent leur vie durant dans le réseau de l’école.

Sur un meuble, trône un pastiche de la couverture d’un célèbre album d’Hergé: «Patrick au Congo». Au soir du 31 décembre 2016, Patrick Aebischer quittera la présidence de ­l’EPFL a

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