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Le mot de la fin

Chronique. Ce mépris universel du petit chien

Souvent moqués, les petits chiens n’ont pas vraiment la cote.Vitalii Khodzinskyi/Unsplash

Marie Hayoz

Marie Hayoz

2 octobre 2024 à 11:42

Temps de lecture : 3 min

On se définit dans un groupe par nos traits de caractère les plus marqués, par les quelques exploits accomplis, par nos carrières plus ou moins enviables mais aussi et surtout par ce qu’on aime. Qui mange salé le matin, qui a vu cette superbe pièce dans ce nouveau théâtre indépendant, qui a trouvé que le nord du Danemark était magnifique en automne. Comme des mosaïques, ces petites pièces dessinent la silhouette de qui nous sommes et surtout de ce que nous sommes bien d’accord de montrer.


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