Marc Aebischer
26 septembre 2024 à 18:14
Jusqu’à récemment, il n’y avait pour moi qu’un seul «Divin Chauve»: Harold Mrazek, ce basketteur fribourgeois qui a lancé des torpilles à longue distance pendant près de trente ans. Mais désormais, je voue une admiration analogue à un autre chauve, celui dont on ne voit jamais que le torse bombé exhibant des biceps moulés dans un tee-shirt trop blanc: Meister Proper!
C’était un radieux mardi d’automne. La nature exultait. Les arbres se donnaient en spectacle, laissant tomber une à une leurs luxuriantes frondaisons fauves. Mes yeux émerveillés ne voulaient rien rater de ce lascif effeuillage, alors j’entamai une bal...
