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Écrans

Le septième art, tout un poème

Pour sa deuxième édition, le Printemps de la poésie lève le nez de ses bouquins et interroge le cinéma

Dans The Tree of Life (2011), Terrence Malick déploie une narration déconcertante dont l’esthétique confine au poème.

 Thierry Raboud

Thierry Raboud

15 mars 2017 à 05:00

Débat »   Les réalisateurs seraient-ils des poètes qui s’ignorent? On se pose la question en découvrant la belle affiche du Printemps de la poésie, ce festival déployé un peu partout en Suisse romande depuis lundi et jusqu’au 25 mars. Car entre ces dizaines d’événements consacrés aux belles-lettres se cachent quelques soirées dédiées au cinéma. Des projections prolongées de tables...

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