14 juin 2024 à 00:00
Temps de lecture : 1 min
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Il sème partout des virgules, comme ça, pour amalgamer dans un même flux, dans un même lyrisme amer tout ce qui glisse sur la scène de la modernité scrollante, les fatuités ordinaires et les indignations provisoires, les désirs épuisés par la tyrannie du désirable, les émojis cœurs et flammes en ersatz relationnel, audience et solitude, vanités qu’exalte son haut style de chroniqueur pétri de causticité,
Quentin Mouron, La dernière chambre du Grand Hôtel Abîme, Ed. Favre, 174 pp.