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Surcoût pour la BCU. «Il y a un risque résiduel lors de travaux sur un bâtiment historique»

Imprévus, déménagement ou encore réserves insuffisantes: le chantier de la BCU exige 38 millions supplémentaires par rapport au crédit initial. Le conseiller d’Etat en charge du dossier Jean-François Steiert explique ce montant.

La planification initiale ayant été retardée, l’ouverture publique de la BCU est prévue à la rentrée académique de 2026. © Charly Rappo

Rémi Alt

Rémi Alt

10 janvier 2024 à 23:20

Temps de lecture : 1 min

Canton » Le montant du surcoût pour l’agrandissement de la Bibliothèque cantonale universitaire est désormais connu. Il se montera à 38 millions de francs. En 2022, le Conseil d’Etat avait annoncé que le budget initial de 86 millions de francs, qui comprenait la subvention fédérale à hauteur de 15 millions de francs, un crédit d’étude de 4 millions ainsi que les coûts de déménagement et le stockage intermédiaire des ouvrages (environ 7 millions), serait largement insuffisant. Quant à la population, elle s’était prononcée en 2018 sur une enveloppe de 60 millions.

Conséquences et imprévus

Cette demande de crédit complémentaire s’explique de plusieurs manières: «Les sondages sur les fondations du bâtiment n’ont pu se faire qu’après les débats du Grand Conseil sur le crédit d’engagement», indique le conseiller d’Etat à la tête de la Direction du développement territorial, des infrastructures, de la mobilité et de l’environnement (DIME) Jean-François Steiert. Et de compléter: «Cette volonté d’exploiter le plus longtemps possible l’ancienne BCU a complexifié les estimations du montant pour ce point-là.»

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