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Agriculture. Le risque de manque d’eau et la pression du loup se font sentir dans les Préalpes fribourgeoises.

L’année 2023 a été plutôt bonne pour les alpagistes, mais plusieurs défis existentiels vont se poser à eux durant les années à venir.

Grâce notamment à des précipitations survenues aux bons moments, les alpagistes n’ont pas eu à recourir à de coûteux transports d’eau en 2023.Alain Wicht

Marc-Roland Zoellig

Marc-Roland Zoellig

27 avril 2024 à 14:00

Temps de lecture : 2 min

Malgré une année 2023 «généreuse pour la plupart des alpages des Préalpes fribourgeoises» grâce notamment à des précipitations survenues aux bons moments, ce qui a permis aux alpagistes de ne pas avoir recours à de coûteux transports d’eau, les sujets de préoccupation n’ont pas manqué vendredi soir lors de l’assemblée générale de la Société fribourgeoise d’économie alpestre (SFEA). Son président Henri Buchs a pointé les difficultés liées au manque de personnel, à la cohabitation «difficile voire impossible» avec le loup, ou encore aux relations avec la grande distribution et les autorités, qu’il a invitées à «faire un pas vers nous».


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