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Le savoir diffusé en libre accès

Les «shadow libraries» proposent discrètement des milliers de documents piratés

Les premières «bibliothèques de l’ombre», ou «shadow ­libraries» en anglais, ont vu le jour dans les années 1990. Leur fonctionnement diffère singulièrement des 
bibliothèques traditionnelles. 


 Vincent Bürgy

Vincent Bürgy

9 octobre 2017 à 07:00

Science »   Library Genesis, Sci-Hub ou le défunt Gigapédia: autant d’adresses web méconnues du grand public, car quasi invisibles dans les résultats des moteurs de recherche, mais sujettes à d’intenses controverses. Fantasme pour les uns, cauchemar pour les ayants droit, les «bibliothèques clandestines» d’internet, appelées «shadow libraries» en anglais, contiennent des dizaines de milliers de textes piratés.

Ces plateformes...

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