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Basketball

Destiny Harden et la mentalité de «chiens»

Née à Chicago, l’arrière américaine d’Elfic Fribourg a appris à marquer et à protéger son territoire. Rencontre avant l’acte IV de la finale des play-off.

Destiny Harden: «Jouer, c’est jouer dur.»Charly Rappo

Pierre Salinas

Pierre Salinas

23 avril 2024 à 17:28

Temps de lecture : 2 min

Ne lui dites pas que, dimanche passé à Nyon, malgré la défaite, elle a réussi son meilleur match sous les couleurs d’Elfic Fribourg (17 points et 7 rebonds en 21 minutes). «Offensivement, peut-être. Mais défensivement, je dois apporter davantage, offrir quelques «stops» supplémentaires», répond Destiny Harden, arrivée sur les bords de la Sarine à la fin février en provenance du championnat d’Espagne. Barcelone et Gran Canaria, où elle a commencé la saison? «S’il vous plaît, on n’en parle pas. Comme je n’ai pas envie de m’étendre sur mon parcours universitaire», enjoint l’arrière américaine de 25 ans avant même le début de l’entretien. Chicago? «Ça, pas de souci. On peut», sourit-elle enfin.