Où vont ces crachats venimeux…
Louis
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Les puanteurs de la «charogne» ne l’ont pas rebuté. La vente d’un livre vaut bien quelques haut-le-cœur et une entorse à ses engagements. Oskar Freysinger est donc revenu vers les médias qu’il boudait, et qui lui sont si accueillants! Un autre livre de la rentrée aura-t-il droit, dans les médias du service public surtout, à autant d’attention que celui de l’ex-conseiller d’Etat valaisan?
«L’intérêt des médias pour mon cadavre démontre combien ils sont morts eux-mêmes. Leurs nouvelles puent la charogne. Bientôt leur métier tout entier suivra dans la tombe», écrit le Saviésan après sa non-réélection en 2017. Macérant dans l’aigreur, il couvre de vinaigre les journalistes, ces pelés, ces galeux qui n’ont pas reconnu son génie, qui l’ont persécuté et coulé. Le «monstre médiatique» a grignoté le Chaperon rouge valaisan victime du «système» et de ses méchants adversaires politiques.
Tout à la sculpture de sa statue de saint et martyr, Oskar Freysinger sous-estime pourtant grav