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Premières communales: les jeunes candidats réagissent à «Balance ton prof»

Que pensent les quatre participants à notre série de «l’affaire du soutien-gorge de Gambach» et de la libération de la parole des étudiantes qui a suivi? Comment perçoivent-ils le combat féministe et où le situent-ils à l’échelle de leur commune? Leurs réponses.

Des soutiens-gorge ont été suspendus aux grilles du collège de Gambach. © SoG
Des soutiens-gorge ont été suspendus aux grilles du collège de Gambach. © SoG


Textes: Jérémy Rico, photos: SoG/Charly Rappo

Publié le 13.02.2021

Temps de lecture estimé : 11 minutes

Egalité entre hommes et femmes, sexisme, lutte contre le harcèlement: si elle n’a conduit qu’à une légère augmentation du nombre de femmes candidates aux élections communales (lire ici), la vague violette porte bon nombre de combats qui sont actuellement au cœur du débat de société. Alors que la Suisse vient de fêter les 50 ans du droit de vote des femmes, Fribourg est particulièrement touché par la question du harcèlement depuis «l’affaire de Gambach». Il y a deux semaines, une élève du collège de Gambach témoignait dans la page «Jeunes» de La Liberté après s’être vu reprocher l’absence du port d’un soutien-gorge en classe. Cette affaire a-t-elle eu un impact sur la campagne des quatre jeunes candidats qui participent à notre série «Premièr


Les élections communales de 2021

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