«Matran pourrait se faire absorber»
Le 26 septembre, les habitants de neuf communes sarinoises sont appelés aux urnes pour un vote consultatif sur la fusion du Grand Fribourg. Neuf jeunes Fribourgeois – un par commune – livrent leur avis sur ce projet et évoquent leur sentiment d’appartenance à leur commune. Premier épisode avec Maxime Guillet, de Matran.
Jérémy Rico
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Génération Grand Fribourg? (1/9) » Il a 24 ans, dont 22 passés à Matran. Maxime Guillet, employé de l’Etat dans le Sud du canton, est très attaché à sa commune. Il le dit d’ailleurs clairement: malgré la proximité de son village avec la capitale cantonale, le footballeur amateur se sent avant tout Matranais. «Je perçois une différence entre les gens qui habitent la ville de Fribourg et ceux qui habitent la campagne autour», analyse-t-il.
Qu’est-ce qui vous rend fier d’habiter à Matran?
J’aime la proximité entre les habitants, le fait que tout le monde se connaît. Il y a beaucoup de sociétés actives à Matran et des manifestations qui réunissent tout le village, comme la Bénichon où le 1er Août. Elles permettent à tout le monde de se retrouver.
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