«De nombreux éléments m’ont poussé à prendre cette décision. D’une part, il y a l’état des travaux en Gruyère. De nombreux chantiers appelés à dessiner le district pour les dix à quinze prochaines années sont en cours. Nous sommes au milieu du gué et il est important pour moi de les mener à bien», expose-t-il à La Liberté.
Patrice Borcard était par ailleurs mal à l’aise avec l’idée d’abandonner un mandat que la population gruérienne lui a renouvelé en 2016. «J’aurais eu le sentiment de faire défaut à leur loyauté.» Enfin, homme d’exécutif, le préfet ne cache pas qu’il ne se serait peut-être pas senti à l’aise dans le travail législatif.