L’association à but non lucratif, sise à la route de la Fonderie, dans la capitale cantonale, figure en effet parmi les nouveaux membres de l’organisation économique qu’on découvre dans le dernier numéro d’«Echo», le magazine de la CCIF.

«Je comprends que ça puisse surprendre, mais Fri-Son a vu le jour dans un contexte qui n’a rien à voir avec celui d’aujourd’hui», fait remarquer Emilien Rossier, secrétaire général de l’association, en évoquant les origines contestataires de la salle, qui a à ses débuts accueilli nombre de groupes anarchistes venus pousser leur cri de révolte.

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