«Nous considérons la décision de la LoRo comme extrêmement choquante», écrivent les députés Hubert Dafflon (pdc) et Sylvie Bonvin-Sansonnens (v). Révélée le 4 août dernier par «La Liberté», cette délocalisation biffera sept postes de travail à Lausanne (cinq selon la LoRo). «Nous pensions pourtant que la LoRo avait aussi pour vocation de soutenir les associations menant des activités sociales en faveur des plus défavorisés. En fait, elle n'hésite pas, pour un profit immédiat mais loin d'être nécessaire, à provoquer des situations pouvant avoir des conséquences sociales pour les personnes concernées directement, ici, en Romandie.»

Après celui du Jura début septembre, le Grand Conseil valaisan a lui aussi adopté cette résolution ce vendredi.